Carnets du voyage en Chine |
Compl. Titre | 11 avril-4 mai 1974 |
Auteurs | Barthes, Roland (Auteur) Herschberg-Pierrot, Anne (Editeur int.) |
Edition | C. Bourgois : Paris , DL 2009 |
Collation | 1 vol. (246 p.) |
Illustration | ill., fac-sim., carte |
Format | 20 cm |
indice Dewey | 920915.104 57 |
ISBN | 978-2-267-02019-9 |
Prix | 23 EUR |
Langue d'édition | français |
Sujets | Chine : Descriptions et voyages : 1970-2000 Récits de voyages témoignage |
Catégories | Histoire - Géographie |
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Notes : Index
le fait divers est littérature , écrivait-Barthes Ici, cet hybride, ce livre en devenir, va haut la main au-delà du simple fait divers. Peut-être avons-nous affaire alors à plus que de la littérature... C’est à l’initiative d’une amie que Tel Quel, groupe d’intellectuels composé notamment de Roland Barthes, Philippe Sollers et Julia Kristeva, gaiement maoïstes alors, partent pour un périple de trois semaines à la conquête de l’empire du milieu et de la révolution culturelle. Au cours de ce voyage, Barthes retiendra une foule de petites choses. Il en noircira trois carnets. Reproduits ici à l’identique dans leur intégralité pour la première fois, les Carnets du voyage en Chine paraissent en même temps qu’un autre inédit, Le journal de deuil. Ce qui intéressera ici c’est surtout l’intrusion dans la profonde intimité d’un des plus grands intellectuels des années 1970, d’un de ceux qui les ont faites. Parfois triviales, ses notes nous amuseront. Parfois sensuelles, elles nous troublerons. Très souvent brillantes, elles nous fascineront. Qu’on soit sinophile, adepte de Barthes ou de paratexte, simple curieux ou tout ça à la fois, on prendra forcément du plaisir à lorgner par le trou de la serrure que ces carnets.
le fait divers est littérature , écrivait-Barthes Ici, cet hybride, ce livre en devenir, va haut la main au-delà du simple fait divers. Peut-être avons-nous affaire alors à plus que de la littérature... C’est à l’initiative d’une amie que Tel Quel, groupe d’intellectuels composé notamment de Roland Barthes, Philippe Sollers et Julia Kristeva, gaiement maoïstes alors, partent pour un périple de trois semaines à la conquête de l’empire du milieu et de la révolution culturelle. Au cours de ce voyage, Barthes retiendra une foule de petites choses. Il en noircira trois carnets. Reproduits ici à l’identique dans leur intégralité pour la première fois, les Carnets du voyage en Chine paraissent en même temps qu’un autre inédit, Le journal de deuil. Ce qui intéressera ici c’est surtout l’intrusion dans la profonde intimité d’un des plus grands intellectuels des années 1970, d’un de ceux qui les ont faites. Parfois triviales, ses notes nous amuseront. Parfois sensuelles, elles nous troublerons. Très souvent brillantes, elles nous fascineront. Qu’on soit sinophile, adepte de Barthes ou de paratexte, simple curieux ou tout ça à la fois, on prendra forcément du plaisir à lorgner par le trou de la serrure que ces carnets.
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